Le musée et sa galerie (Puits des Glénons)
Plongez dans l’univers fascinant des mineurs de charbon.
Le charbon et sa mine ont été pendant près de 300 ans la principale ressource de la ville de La Machine. En 1974, à la fermeture du dernier puits, de nombreux mineurs ont voulu perpétuer la mémoire de leur métier à travers un lieu éducatif et captivant. Ils ont permis de sauvegarder les deux sites qui accueillent, depuis 1983, le Musée de la Mine.
Musée de la Mine
Commencez par une visite libre du Musée installé dans l’ancien siège de la Houillère pour en apprendre davantage sur l’histoire du charbon et la vie des ouvriers.
Certaines pièces restent inchangées pour témoigner du passé administratif du bâtiment comme le bureau du directeur, la loge du gardien ou l’espace de travail du magasinier. Le musée retrace également la formation du charbon, l’habitat du mineur, le travail des femmes ou la vie sociale au temps de la mine. Vous pouvez découvrir ses collections de fossiles, minéraux et lampes.
Une exposition temporaire différente chaque année enrichit la présentation.
Puits des Glénons
Ensuite direction le Puits des Glénons où vous serez équipés de lampes et de casques pour explorer la surface et la galerie de mine, accompagnés de votre guide.
- Durant la visite guidée vous découvrirez les dures conditions de travail des mineurs, femmes, enfants et animaux.
- Les savoir-faire utilisés pour extraire le charbon ou la sécurité n’auront plus de secret pour vous.
Un lieu unique, accessible au plus grand nombre pour une journée forte en émotions !
Le saviez-vous ? Le Musée de la Mine de La Machine est le seul en France où la galerie est exclusivement éclairée aux lampes d’époque, ambiance garantie !
Des images plutôt que des mots...
🎥 Vidéo de présentation du Musée de la Mine
🎥 Vidéo de présentation du Puits des Glénons
« La mine doit être au mineur, comme la mer est au pêcheur, comme la terre est au paysan...
Entendez-vous ! la mine vous appartient, à vous tous qui, depuis un siècle, l'avez payée de tant de sang et de misère ! »